Après avoir été représentant de commerce, en 1978, Bernard Duporge ouvre un café et un Salon de coiffure, à Lacanau et devient également directeur d’une radio libre. Huit ans à ce rythme, et je cède son fonds de commerce de café, je ne garde que le Salon de coiffure. Élu dans la commune de Sainte-Hélène, où il réside, il devient adjoint à la Culture. Il crée, à l’occasion de la sortie de son premier roman, un Salon du livre avec la complicité de Georges Coulonges, grand ami, qui l’a poussé vers l’écriture. Dans le même temps, il écrit des pièces de théâtre qui sont jouées avec succès par une troupe locale d’amateurs. Il devient correspondant de presse pour le journal Sud-Ouest, et pendant 20 ans, il signe une chronique humoristique tous les samedis : Les humeurs de Duvallon.